Fête de la nature 2023

La 17e édition de la fête de la nature revient ! 6 jours d’animations gratuites pour permettre à tous les publics de vivre l’expérience de la nature…

Nos animations LPO Anjou

Le 24 mai

Le 27 mai

  • Observons les oiseaux ! Été comme hiver, des dizaines d’oiseaux se baladent de jardins en balcons. Accompagné d’un animateur de la LPO et munis de jumelles, partez à leur rencontre et tentez de les reconnaître en les écoutant et en les observant. Vous aurez tous les éléments pour ensuite, de chez vous, contribuer à l’enquête nationale « Oiseaux des jardins » qui permet d’étudier les populations d’oiseaux.
  • Trucs et astuces pour créer et animer un refuge pour la faune sauvage. À travers cette animation, nous souhaitons donner l’envie aux plus jeunes de créer leur espace et surtout leur prouver que ça marche !
  • Journée nature au jardin « Les enfants qui sèment ». Lors de votre visite, vous pourrez écouter des histoires originales sur le thème de la nature, lues par les adhérents de l’association, au milieu d’un cadre bucolique. Nous vous ferons découvrir les plantes aromatiques, dont vous pourrez goûter certaines en tisane. Sylvain et Sylvie vous feront apprécier la biodiversité du lieu, en vous initiant au vivant de la nature (insectes, oiseaux, plantes, etc.).

Le 28 mai

Rendez-vous sur le site de Fête de la nature pour voir le programme complet !

Retour sur notre assemblée générale 2023

Notre assemblée générale s’est déroulée le samedi 13 mai 2023 à l’abbaye royale de Fontevraud où une centaine de personnes étaient présentes. Revenons sur les moments clés de cette assemblée générale 2023.

Pique-nique à l’abbaye royale de Fontevraud © A. Lebredonchel.

Après avoir discuté autour d’une boisson chaude au sein de l’abbaye royale de Fontevraud, la foule a été répartie en trois groupes pour pouvoir participer aux sorties naturalistes proposées par le groupe Jeunes de la LPO Anjou, le groupe bénévole de Saumur et Olivier Loir, référent Refuges LPO, accompagnés de Stéphane Retailleau qui travaille à l’abbaye, et avec qui nous sommes en étroite collaboration. Les adhérents ont pu y découvrir la biodiversité présente à Fontevraud. Deux sorties se sont déroulées à l’extérieur de l’abbaye pour y découvrir la faune et la flore. Une autre sortie s’est déroulée au sein de l’abbaye pour y découvrir la biodiversité dans ce bâti classé Refuge LPO, notamment avec la présence d’Hirondelles de fenêtre, de Martinets, de mésanges et bien d’autres.

Ensuite, est venu le vin d’honneur, avec le discours de Reine Dupas, notre présidente, et la visite de la députée Laetitia Saint-Paul. Sous un climat angevin, nous avons pu profiter d’un pique-nique en plein air le midi pour renforcer les liens entre adhérents, administrateurs, bénévoles et salariés.

Reine Dupas aux côtés de
Thierry Printemps © D. Béguin.

Thierry Printemps a été élu bénévole de l’année 2023 pour son implication depuis plus de 30 ans à la LPO Anjou, notamment pour son suivi des Busards cendrés. Nous te remercions Thierry !

Nous avons souhaité la bienvenue aux nouveaux salarié.e.s :

  • Bertrand Rutily, le nouveau directeur de la LPO Anjou ;
  • Axelle Denis, chargée de mission biodiversité et référente des sites Natura 2000 de Méron ;
  • Angélique Lebredonchel, chargée de communication ;
  • Simon Coutand, chargé de mission agriculture et biodiversité.
De gauche à droite, Bertrand Rutily, Alain Bertaudeau, Gilles Mourgaud,
Reine Dupas, Axelle Denis, Angélique Lebredonchel, Simon Coutand © D. Béguin.

Les administrateurs sortants ont été réélus à l’unanimité et deux nouveaux candidats rejoignent le CA : Bruno Gaudemer qui nous aide sur diverses actions de la LPO, notamment sur les dossiers des ESOD, et Rémi Carpentier, référent du groupe Jeunes de la LPO Anjou.

En fin d’après-midi, nous avons pu assister à la projection du documentaire « Sensibles, au cœur des espaces naturels de l’Anjou » produit par COCO Productions et réalisé par Romain et José Saudubois. Nous les remercions de nous avoir permis de projeter leur nouveau documentaire. Nous vous conseillons ce documentaire qui met en avant la très belle biodiversité de l’Anjou avec des images époustouflantes.

Projection du documentaire Sensibles, au cœur des espaces naturels de l’Anjou,
produit par COCO Productions et réalisé par José et Romain Saudubois © A. Lebredonchel.

Nous remercions l’abbaye royale de Fontevraud et Stéphane Retailleau pour nous avoir accueillis dans ce monument historique et culturel !

Merci aux adhérents, bénévoles, salariés et administrateurs d’être venus participer à cette assemblée générale, qui nous permet de partager des moments conviviaux. On se revoit l’année prochaine pour l’assemblée générale 2024 !

Formation au protocole POPReptiles

Couleuvre helvétique © É. Beslot.

Le réseau régional LPO souhaite développer dans les années à venir des indicateurs de l’évolution de la faune vertébrée. À l’instar du STOC EPS pour les oiseaux, qui s’avère être un outil extrêmement robuste pour apprécier les tendances d’évolution, il existe divers protocoles nationaux portant sur d’autres groupes taxinomiques. Actuellement ces protocoles ne sont pas assez largement répandus sur notre territoire pour être exploitables.

Après la formation au protocole Vigie-Chiro(ptère) qui a eu lieu le 13 avril, et la formation aux points d’écoute EPOC du 17 mai, nous vous proposons une formation au protocole POPReptiles. Cette formation aura lieu à Bellevigne-en-Layon (Rablay-sur-Layon) au domaine de Mirebeau chez Bruno Rochard viticulteur bio (AB) le mercredi 7 juin de 9 h à 12 h.

Nous commencerons par une partie en salle pour évoquer les modalités du protocole et son intérêt, nous nous attarderons un peu sur la reconnaissance des différentes espèces de chez nous, puis nous irons dehors pour réaliser concrètement le protocole (un suivi est en place depuis quelques années sur le site). 

Cette formation s’adresse préférentiellement à ceux qui n’ont pas trop peur des reptiles… et désireux de s’investir dans le protocole (mise en place chez eux ou dans une ferme partenaire de la LPO).

Renseignements et inscription (nombre de places limité) : Édouard Beslot.

Les 27 et 28 mai 2023, c’est le comptage national des oiseaux des jardins

Rendez-vous dans votre jardin, sur votre balcon, dans le parc de votre choix pour y compter les oiseaux.

Ces données, récoltées lors de cette opération de sciences participatives, permettent aux scientifiques d’en savoir plus sur les oiseaux qui viennent visiter les jardins durant leur période de reproduction.

En effet, grâce la compilation des données récoltées sur ces 10 dernières années à l’occasion de ce comptage et de celui de fin janvier, qui a lieu également tous les ans, nous avons désormais la preuve que la population de certaines espèces a tendance à diminuer durant cette période.

C’est le cas notamment du Verdier d’Europe, du Merle noir, des Hirondelles rustique et de fenêtre ou encore de l’Accenteur mouchet. Qu’en sera-t-il pour les années à venir ? Aidez les scientifiques, participez à ce nouveau comptage !

Pour participer, pas besoin d’être un expert. Il suffit de choisir 1 h, d’aimer regarder ce qu’il se passe dans son jardin et de savoir compter. Facile !

Et pas de panique, des fiches espèces sont disponibles pour vous aider à reconnaître les principales espèces qui visitent les jardins https://www.oiseauxdesjardins.fr/index.php?m_id=20112, ainsi que des fiches pour les espèces à risque de confusion https://www.oiseauxdesjardins.fr/index.php?m_id=20121.

Comment y participer ?

  • Choisissez un jour d’observation, le samedi 27 ou le dimanche 28 mai et un créneau d’une heure. Nous vous conseillons d’éviter les heures trop chaudes de la journée ;
  • Trouvez un lieu d’observation, un jardin ou un balcon, en ville ou à la campagne. Un parc public peut tout à fait servir de lieu d’observation ;
  • Comptez et notez durant une heure tous les oiseaux qui visitent le jardin. Pour les reconnaître plus facilement, des fiches sont disponibles sur le site de l’Observatoire ainsi qu’une fiche d’aide pour le comptage ;
  • Transmettez les données sur le site de l’Observatoire des oiseaux des jardins : oiseauxdesjardins.fr.

Comment éviter les doubles comptages ?

Il suffit de compter le nombre maximal d’individus de chaque espèce observée simultanément durant le créneau horaire. Par exemple, pour une observation successive de 2 Mésanges charbonnières, puis 4, puis 1, ne notez que 4 mésanges charbonnières et non 7 (2 + 4 + 1). 

Lors du comptage de mai dernier, près de 4 000 personnes se sont mobilisées et plus de 90 000 oiseaux ont été recensés. En tête des espèces les plus observées : le Moineau domestique, le Merle noir et la Mésange charbonnière. Et cette année ? À vous de compter.

Nous espérons vous voir nombreux à participer à cette nouvelle édition de ce grand comptage. Rendez-vous les 27 et 28 mai 2023 ! 

Envie de vous engager pour la nature ?

Le manque de sites de nidification naturels peut être un obstacle à la reproduction des oiseaux nicheurs de nos jardins. Il est possible de leur donner un petit coup de pouce en équipant votre jardin, votre balcon, votre terrasse ou votre cour de nichoirs.

Et créez un Refuge LPO chez vous et rejoignez ainsi le 1er réseau de jardins écologiques de France. Ce programme national permet à tout propriétaire d’un jardin, d’une cour, d’une terrasse ou d’un balcon* d’accueillir et de protéger la biodiversité tout en soutenant la LPO.

*La démarche Refuges LPO existe également pour les établissements, collectivités et entreprises.

Pour aller plus loin

Devenez incollable sur l’identification des oiseaux grâce à la formation de la LPO France en ligne : Le MOOC Ornitho.

Rejoignez-nous, devenez adhérent.

Préserver les arbres pour une chauve-souris menacée : venez apprendre comment préserver la Noctule commune !

Noctules communes © J. Ducrocq.

Les inscriptions pour le week-end Noctule en Maine-et-Loire sont là ! 

Rejoignez-nous pour un week-end convivial les 2, 3 et 4 juin au nord d’Angers, à la recherche des arbres gîtes de la Noctule commune Nyctalus noctula. Cette espèce encore commune en Maine-et-Loire (ou carte 2021-2023), mais fortement menacée, est au cœur d’un programme régional de conservation lancé en mars 2022 dans les Pays de la Loire.

L’amélioration du statut de conservation de l’espèce passe par une meilleure connaissance de ses effectifs, sa répartition, ses préférences écologiques, mais aussi par la sensibilisation et la formation du public aux enjeux qui pèsent sur l’espèce. Durant tout le week-end, vous serez formés à la recherche de gîtes arboricoles et aux différentes étapes à réaliser lors de la découverte d’un gîte à Noctule commune. 

C’est dans cet objectif de préservation de cette chauve-souris que chaque année a lieu le week-end Noctule en Maine-et-Loire. Ce sont 3 jours de recherche de gîtes à Noctule commune, mais également de moments d’échanges, de partage et de rencontres ! Il vous sera également possible de loger au sein de la zone d’étude. 

Pour vous inscrire, c’est ici : https://framadate.org/xVPloXslQeCPOteI (Pensez à indiquer vos nom, mail, ainsi que votre numéro de téléphone).

Nous espérons vous voir nombreux !

Rédigé par Camille Hogué

Bords de route, bandes enherbées, carrés de pelouse : laissons-les fleurir !

Orchis mâle © B. Perreuil

On les appelle ici bandes fleuries, là jachères, parfois bandes enherbées ou encore bords de route et de chemin, pelouses ou prairies naturelles, pieds de haie ou talus, inter-rangs ou tournières. Leur point commun : être « enherbées » et parfois fleuries !

Ces espaces sont partout et nulle part. Alors que l’homme s’évertue à verdir ses actions, à réfléchir à son impact sur la planète et la biodiversité, se pourrait-il que les actions les plus simples lui échappent ‽

Trop souvent ces espaces sont négligés, considérés comme des sources de nuisances, l’homme s’évertue alors à les tondre et retondre, pour faire place nette, bien au-delà du simple souci de fonctionnalité, par habitude ou par souci d’une parfaite maîtrise d’une nature sauvage, sans doute par peur aussi de se faire déborder.

Pourtant ces espaces enherbés sont de vrais trésors de vie pour qui sait y regarder.

Qu’elle soit en ville ou à la campagne, au milieu des champs ou au bord d’une route, à proximité d’un cours d’eau, voire d’une forêt, sur un rond-point ou au pied d’un immeuble, toute surface enherbée peut se transformer en un jardin d’Eden, pour les centaines d’espèces de plantes et milliers d’insectes qui s’y développeront ! Ces espaces abritent jusqu’à 50 % de la flore de nos régions.

Un seul mot d’ordre : ne broyez pas l’herbe entre le 15 avril et l’été !

Alors vous verrez la magie opérer, sans un effort, le paysage se transformer, des plantes que vous n’aviez encore jamais remarquées fleurir et vous étonner par leurs couleurs, leurs formes et leurs parfums.

Coquelicots, centaurées, plantains, pissenlits, lin, bleuets, trèfle violet ou compagnons blancs… Souvent, des orchidées réapparaîtront, pour peu que ces espaces ne soient pas fertilisés. Vous admirerez alors les plus précieuses et délicates de nos orchidées sauvages (Ophrys abeille, Orchis mâle, Orchis morio, Orchis bouc, Orchis pourpre, Platanthère verdâtre…).

Devant ce foisonnement de couleurs, rapidement les papillons de jour, les abeilles sauvages et tous les autres insectes floricoles, reviendront dans vos jardins, dans vos villes, dans vos campagnes. Ils se nourriront de ce réseau d’espaces fleuris et préservés.

Ils y trouveront le nectar pour s’abreuver, les cachettes pour y dormir et y pondre leurs œufs, les hirondelles chasseront bientôt le long de ces jardins pour y nourrir leurs poussins. Les papillons de nuit et les chauves-souris se relaieront la nuit pour profiter de ces oasis de biodiversité !

Que vous soyez particulier, collectivité, agriculteur… nous vous appelons à la trêve printanière pour préserver des oasis de biodiversité.

Rédigé par Erwan Guillou

Formation aux points d’écoute EPOC 

Rouge-gorge © B. Marchadour

Le réseau régional LPO souhaite développer dans les années à venir des indicateurs de l’évolution de la faune vertébrée. À l’instar du STOC EPS pour les oiseaux, qui s’avère être un outil extrêmement robuste pour apprécier les tendances d’évolution, il existe divers protocoles nationaux portant sur d’autres groupes taxinomiques. Actuellement ces protocoles ne sont pas assez largement répandus sur notre territoire pour être exploitables. 

Après la formation au protocole Vigie-Chiro(ptère) qui a eu lieu le 13 avril, nous vous proposons une formation aux points d’écoute EPOC (estimation des populations d’oiseaux communs). Cette formation aura lieu à  Angers de 9 h à 12 h le mercredi 17 mai. Nous commencerons par une partie en salle pour évoquer les modalités du protocole et son intérêt, puis nous irons dehors pour réaliser concrètement des EPOC.  

Renseignements et inscription  (nombre de places limité):  Édouard Beslot.

Fermes paysannes et biodiversité : déploiement du protocole Vigie-Chiro en Maine-et-Loire

La LPO Pays de la Loire souhaite développer dans les années à venir des inventaires de la biodiversité sur les fermes volontaires de nos réseaux de paysans locaux, pour avoir un suivi dans le temps de certains taxons. Pour cela, il s’agit de présenter aux bénévoles et paysans intéressés 4 protocoles de sciences participatives pour inventorier les chauves-souris, les reptiles, les amphibiens et les oiseaux. En Maine-et-Loire, c’est la LPO Anjou qui porte son déploiement. 

Ce programme, financé par la DREAL Pays de la Loire, a permis d’ores et déjà de réaliser un ensemble de formations l’année dernière, et certains protocoles ont pu être mis en œuvre ! 

Cette année, un nouveau cycle de formation est proposé aux bénévoles volontaires, et l’année a démarré avec celle dédiée au protocole Vigie-Chiro le jeudi 20 avril : au total, ce sont 11 personnes qui ont passé la journée à connaître et comprendre les chauves-souris, puis à décortiquer ce protocole un peu particulier. En effet, l’étude des chiroptères passe notamment par l’analyse acoustique de leurs ultrasons, en utilisant des enregistreurs capables de stocker une grande quantité de données durant la nuit !  

L’exploitation de ces données est ensuite réalisée via un ordinateur et plusieurs logiciels, pour enfin atterrir sur la plateforme web du programme Vigie-Chiro. En bref, un protocole assez technique qui demande une certaine rigueur et une appétence pour l’informatique. Le matériel dont disposeront les bénévoles a été fabriqué par notre bénévole Jean-Do Vrignault, qui a conçu des enregistreurs équivalents à ceux du commerce, à un prix défiant toute concurrence ! Il a eu la gentillesse de se joindre à nous pour expliquer le fonctionnement de son matériel à tous les volontaires présents. 

Jean-Do Vrignault expliquant le fonctionnement de ses enregistreurs

Sur le territoire, plus de 15 fermes partenaires vont ainsi mettre en œuvre ce protocole grâce à ce programme : nous avons hâte de voir les résultats !

RNR des coteaux du Pont-Barré : le mobilier de la réserve fait peau neuve !

En début d’année, la réserve naturelle régionale (RNR) des coteaux du Pont-Barré a accueilli plusieurs chantiers d’école du lycée agricole Le Fresne. Grâce au travail des élèves, une nouvelle barrière a fait son apparition. Mais pas n’importe quelle barrière ! Elle a été réalisée avec le bois des Robiniers faux-acacias, espèce exotique envahissante présente sur la réserve. Ce sont plus d’une cinquantaine de spécimens qui ont été abattus entre novembre 2022 et janvier 2023.

Après sciage sur place grâce à la prestation de l’association Horizon Bocage (HB) et les bénévoles mutualisés des 2 associations LPO et HB début mars, le bois servira à la construction d’abris l’année prochaine et est actuellement en séchage. Les morceaux les moins nobles ont été écorcés manuellement à la plane avec des techniques traditionnelles enseignées par le formateur Nicolas Pimolle aux étudiants.

Enfin, des boîtes de distribution des prospectus toutes neuves ont fait leur apparition en plusieurs sites de la réserve. Elles ont été réalisées par le lycée EREA Les Terres rouges de Saint-Barthélemy-d’Anjou.

Et ce n’est pas tout ! Des marches ont aussi été créées ou restaurées afin de faciliter l’accès par le chemin en lacets qui monte au belvédère surplombant le Layon. Cela permet aussi de limiter l’érosion. 

Retour sur les chantiers de la RNR des coteaux du Pont-Barré en images

Rendez-vous à la réserve naturelle régionale des coteaux du Pont-Barré
pour admirer le résultat !